« Nous avions déjà entendu dire que c’était vraiment bien ici. Un soir, alors que nous nous rendions au terrain de golf, nous sommes passés devant cet endroit. C’était dimanche, nous avons donc pensé qu’une visite n’était probablement pas possible, mais nous nous sommes tout de même arrêtés. Nous avons été immédiatement accueillis à bras ouverts. Ensuite, il n’a pas fallu longtemps pour que j’emménage. »

Depuis environ six mois, Arthur Decancq (88), Herman Staelens (85) et Simonne Hautekeur (77) ont adopté la maison de repos et de soins De Bottelarij et y résident comme si c’était chez eux.
Tous les trois sont d’accord : l’atmosphère à De Bottelarij est chaleureuse et familiale, ils bénéficient de soins de qualité et personnalisés et de beaucoup de bonne nourriture. Ils témoignent à cœur ouvert de leur vie dans la maison de repos et de soins.

Pour Petronella « Elly » Van Waas, De Hoef est plus qu’une simple maison de repos et de soins. C’est aussi l’endroit où elle s’est de nouveau épanouie socialement.
« Je n’établis pas très vite le contact avec les gens », dit-elle, « mais dans une maison de repos et de soins, on finit par faire devoir s’ouvrir aux autres de toute façon. » Et elle est reconnaissante à la résidence De Hoef pour bien plus encore.

Je m'appelle Oceane Vervliet, j'ai 26 ans et je travaille à la Grange des Champs depuis un peu plus de 3 ans en tant qu'animatrice. Mon métier est un métier de contact et de lien : j'assure les animations quotidiennes dans la maison de repos.

Un travail qui apporte quelque chose, voilà ce dont Jade Van Bocxstaele avait toujours rêvé. Elle réalise ce rêve à la maison de repos et de soins De Hoef. En tant qu’ergothérapeute, elle se concentre sur le bien-être physique des résidents, en les aidant à conserver, à améliorer ou récupérer leur indépendance ou leur estime d’eux. Elle parle de la vie dans une maison de repos et de soins, du travail d’équipe tellement important et de sa vision de l’avenir.

« Que voulez-vous être plus tard ?" C’est une question qui nous a tous été posée à un moment ou à un autre. Morgane Devreker a commencé par être coiffeuse, mais comme elle n’y trouvait pas son compte, elle a décidé de changer d’orientation et de réaliser son deuxième rêve : devenir aide-soignante.

Ce qui a commencé comme un travail de vacances d’un mois à la Séniorie Kesterberg s’est transformé en une carrière de 13 ans pour Elien Schoukens : « Après mes études de puériculture, on m’a proposé un contrat à durée indéterminée ici, et au fil des ans, cela est vraiment devenu mon truc. »

« J’ai su directement que je voulais travailler dans le secteur des soins de santé », explique Ann Servaes. Après une première expérience d’infirmière à domicile, Ann a commencé en 2017 comme collaboratrice de l’accueil dans la maison de repos et de soins Ter Eyke.

Nous sommes considérés, nous avons le confort, le personnel qualifié et sympathique, et des activités ... Même si je participe peu, puisque je suis toujours occupé !